DDR Sondage : le mystère du Concordia

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La meilleure réponse gagne un stage de plongée au Soudan.

Fin de règne annoncé

Alors que nous battons encore notre coulpe chaque matin avec du Kimchi odorant en mémoire de feu notre cher leader Kim, nous venons d'apprendre ce matin, dès potron minet la terrible nouvelle : Rosy, éternelle Maguy, nous a quittés pour de bon dans la nuit de vendredi à samedi.
Ce micro-évènement, peu commenté, est pourtant un signe de déclin non négligeable pour notre Hyperprésident Sarkozy.
En effet, Maguy, pardon, Rosy, a incarné la quinquagénère du Vésinet, quintescence de l'électrice de Sarkozy en 2007, gorgée de suffisance, toujours amère malgré un confort de vie dégoulinant de bling-bling et qui demandait toujours plus à sa domesticité précaire.
Ce telling culte qui fut martelé durant 333 épisodes et a marqué l'inconscient collectif au point d'avoir été décisif lors de l'élection de 2007 (oui, près de 20 ans plus tard), Ségolène étant l'antithèse de cette mégère : impulsive, de gauche et quasi mystique.
Maguy n'est plus, et ses disciples nostalgiques, retraités si précieux pour Sarkozy, risquent de préférer un capitaine de plaisance au valet des capitaines d'industrie.

Sainte Morano de Nazareth en Meurthe-et-Mozelle

Et si c'était elle la solution pour la paix au Moyen-Orient ?
En effet, grâce à son franc-parler, son indépendance, son sens de la mesure, elle pourrait changer le destin de cette région. Une solution de bon sens : la France devrait adhérer à la Ligue Arabe et proposer Nadine, pardon : Madadame Morano, comme observatrice en Syrie. Elle y excellerait pour réconcilier les belligérants de cette guerre fratricide, puis elle pourrait prolonger sa mission et régler le problème israelo-palestinien et convertir dans la foulée les peuples à la non-violence.
Bien sûr, avant cette mission, une bonne petite fête costumée avec pour thème "Mahomet à Saint-Tropez" en compagnie de Jean-Marie Bigard et Roland Dumas, qui connaît si bien les dictateurs, à l'ambassade de Damas sera organisée pour mettre le feu à cette région qui reste malgré tout trop tristounette.
De toute façon, on la sent beaucoup trop à l'étroit dan son petit ministère chargé de l'Apprentissage et de la formation professionnelle. Elle a une stature internationale et un sens de la répartie et du respect de l'autre dont il faut tirer profit.
Un bon sens populaire qui ne peut que faire des émules.

Jean-Pierre Pornaud, président du comité Désir de revanche.