Après sa libération miraculeuse grâce à des soldats parés de tee-shirt "Jésus Christ", Ingrid Betancourt va continuer à bouleverser le monde.
Tout le monde s'accorde à dire qu'elle rayonne.
Sa foi va l'amener très loin, et elle n'a de cesse de prier Dieu.
Les rumeurs les plus folles courent à son endroit. On l'appelle même la "Nelson Mandela de l'Amérique du Sud". Sarkozy veut lui offrir la légion d'honneur, elle veut aussi la grâce.
Michele Bachelet la veut prix Nobel de la Paix, elle veut aussi l'Amour.
La Colombie et la France la veulent présidente, elle se contenterait de dominer tous les continents.
Elle ne peut avoir qu'une seule ambition, qu'une seule place : pape de l'Église catholique romaine.
En effet, soyons réalistes. Benoîtt XVI est vieillissant, l'Église catholique est en plein doute. Il apparait comme évident qu'une candidature de nouveau féminine (après celle, éphémère et contestée de Jeanne) et issue d'un pays très croyant non européen serait non seulement bienvenue, mais surtout salutaire pour relancer la vieille machine.
Recyclons les posters géants "Free Ingrid" et changeons le message pour :"Ingrid for Papeauté"
Jean-Pierre Pornaud, président du Comité Désir de revanche.